b) Population Maori
LE HAKA
La centralité du haka dans Tous tradition Noir rugby n'est pas un phénomène récent. Depuis l'original «All Black» équipe de Nouvelle-Zélande "Indigènes", dirigé par Joseph Warbrick le haka a été étroitement associé à la Nouvelle-Zélande de rugby. Sa mystique a évolué avec la farouche détermination, l'engagement et les compétences de haut niveau qui a été la marque de jeu national de Nouvelle-Zélande.
Le haka ajoute un élément unique, issu de la Maoris de Nouvelle-Zélande, et qui s'aligne sur les cultures polynésiennes plus larges de l'océan Pacifique. Les All Blacks effectuer le haka avec précision et intensité qui sous-tendent l'approche des All Blacks.
Le Haka est un rituel emprunté aux Maoris, la population polynésienne de Nouvelle-Zélande, qui l'interprétaient à l'occasion de cérémonies ou avant de partir en guerre.
Le Haka est désormais la marque de fabrique des All-Blacks ainsi surnommé en raison de leurs tenues intégralement noires. Il en existe deux versions : La plus connue mais aussi la plus tendre le" ka mate".
Et depuis 2005, une version plus impressionnante le "kapa o pango" se terminant par la simulation d'un égorgement.
LE KA MATE
Ce Haka a eu lieu lors de la coupe du monde 2007 au Millenium Stadium contre les Français en quart de finale.
LE KAPO O PANGO
Ce Haka beaucoup plus impressionnant et agressif est aussi très contesté. Il a été utilisé lors de la finale de la coupe du monde 2011 en Nouvelle Zélande contre les Français éternels rivaux.
Fondamental : Un peu de culture générale...
« " Ringa pakia ! Uma tiraha ! Turi whatia ! Ka mate ! ka mate ! ka ora ! ka ora ! Tenei te tangata puhuru huru ! Nana nei ! I tiki mai, whakawhiti te ra ! A upane ! ka upane ! Whiti te ra ! Hi !" »
Traduction :
« " Taper les mains contre les cuisses ! Soufflez ! Pliez les genoux ! Laissez la hanche suivre ! Tapez des pieds aussi fort que vous pouvez ! Je meurs ! Je meurs ! Je vis ! Je vis ! Voici l'homme poilu qui est allé chercher le soleil et l'a fait briller à nouveau ! Un pas ! Un autre pas ! Le soleil brille !" »
Un peu plus d'information sur le HAKA
Haka est le nom générique pour toutes les danses maori. Aujourd'hui, haka est défini comme la partie du répertoire de la danse Maori où les hommes sont à l'honneur avec le soutien des femmes prêts vocale à l'arrière. La plupart des haka vus aujourd'hui sont haka taparahi, haka sans armes.
Plus que tout autre aspect de la culture maori, cette danse complexe est une expression de la passion, de la vigueur et de l'identité de la course. Haka n'est pas seulement un passe-temps des Maori mais était aussi une coutume de grande importance sociale dans l'accueil et le divertissement des visiteurs. Tribal réputation montait et descendait sur leur capacité à effectuer le haka (Hamana Mahuika). Haka reflète les préoccupations et les enjeux de l'époque, de défiance et de protestation, des événements factuels et des événements à un moment donné.
Le rugby : expression de la fierté Maori
Il y a 25 ans, le rugby est aussi devenu le lieu d'expression de la fierté maorie, particulièrement par la revitalisation du haka comme symbole fondamental des Blacks. Et bien que les joueurs maoris de l'époque s'en défendent, la renaissance de ce symbolisme a été l'aboutissement d'un mouvement plus profond de revendications sociales des populations indigènes, axé sur la réappropriation des terres et la renaissance culturelle. Les All Blacks et le rugby néo-zélandais ont été «maorisés» pour devenir encore plus fédérateurs après une profonde remise en cause du modèle longtemps dominant, celui d'une Nouvelle-Zélande masculine, blanche et rurale.
Il existe une croyance profonde que l'équipe est supérieure à tout, et que le paletot noir à la fougère argentée écrase les individus. Il est à tous et relie tous les Néo-Zélandais entre eux, Pakehas (blancs) et Maoris. «En 1987 (année du premier Mondial, joué en Nouvelle-Zélande et remporté par les Blacks, ndlr), nous étions connectés avec la nation, raconte Sean Fitzpatrick, alors jeune joueur et futur capitaine emblématique. Nous avions pu rencontrer les gens, passer du temps avec eux, dans des familles. Je me souviens d'un arrêt dans une école pour un entraînement, les enfants avaient fait leur haka le plus féroce pour nous. On savait pour qui on jouait! Et je crois que les All Blacks de cette année sentent cela aussi.»